Comment certaines applications de rencontre sabotent tes chances pour mieux s’enrichir.
Tu es seul-e, tu te sens seul-e, et comme draguer dans la rue ou rencontrer au travail n’a pas été fructueux tu te laisse tenter par une appli de rencontre… déception… on te dis ce qu’on en pense !
Tu es seul-e, tu te sens seul-e et tu te laisses tenté par une application de rencontre. Mais malheureusement, tu es déçu-e par tous ces échecs et ces propositions indécentes.
Tu n’es pas le seul-e dans ce cas. Nous avons tous eu envie de partager de bons moments avec quelqu’un de sympa, de construire quelque chose ou simplement de nous connecter avec une personne cool qui nous ressemble. C’est pour cette raison que nous avons téléchargé ces applications de rencontre qui promettent monts et merveilles, avec de nombreux profils attirants à portée de main.
Mais malheureusement, après de nombreux échecs, tu te sens un peu découragé-e. Tu n’es pas seul-e dans ce cas non plus. Beaucoup de gens ont eu la même expérience que toi. Et il y a une raison à cela : lorsque tu télécharges une de ces applications, tu dois accepter la politique de confidentialité et les conditions générales. Personne ne les lit, mais en y regardant de plus près, comme l’a fait Judith Duportail dans son livre « L’amour sous algorithme », on peut y découvrir certaines surprises.
En effet, ces applications de rencontre bien rodées profitent de leurs utilisateurs pour s’enrichir en leur faisant de belles promesses. Lorsque tu t’inscris sur une de ces applications qui dominent le marché depuis quelques années, tu as l’impression que plus ton profil psychologique est complet, plus leur algorithme (cet outil compliqué qui joue le rôle d’entremetteur) sera capable de te trouver ton âme sœur ou simplement une personne qui recherche la même chose que toi.
Mais en réalité, c’est un leurre, une astuce pour te faire entrer dans leur piège bien huilé. Leur objectif est que tu y reviennes, que tu deviennes dépendant-e, accro à ton téléphone, à regarder les nombreux profils qui te sont présentés, à te lever la nuit pour swiper et essayer désespérément de créer un match (oui, certains le font). Ils te poussent à consommer l’autre avec un catalogue plein de profils attractifs, qui sont parfois fictifs, et au lieu de t’aider à sortir de ce sentiment de solitude, ils s’assurent qu’il s’intensifie. Ta détresse s’accumule et tu te demandes « est-ce que ça vient de moi ou est-ce que c’est…? »
Sache simplement que plus tu y reviens, plus les données collectées sur toi s’étoffent et te classent dans une catégorie marketing qui nourrira au bon vouloir la publicité orientée, elles seront vendues, exploitées, transmises, et surtout elles garantiront, grâce à l’algorithme, que la machine bien huilée soit toujours alimentée détruisant peu à peu tes rapports sociaux, ta confiance en toi, ou ta confiance en les autres et en la rencontre.
Tu te poses peut-être des questions sur ce qui se passe avec tes données lorsque tu utilises une application de rencontre. Chez Hugmify, nous avons à cœur de respecter ta vie privée et de ne pas vendre tes données ni les manipuler à ton détriment. Nous voulons te permettre de rencontrer réellement des personnes qui, comme toi, cherchent à créer de véritables échanges dans la vie réelle.
Chez nous, nous prônons un modèle qui valorise chaque individu en tant qu’être humain, plutôt que de les traiter comme des mouchoirs jetables. Nous mettons tout en œuvre pour que tu puisses faire de belles rencontres et partager de bons moments avec des personnes qui te ressemblent. Alors n’hésite pas à nous faire confiance et à te lancer dans l’aventure de la rencontre en ligne avec nous !
Hugmify est disponible maintenant sur Appstore et Google Play store et tu peux le télécharger maintenant
Et si tu veux en savoir plus, on te conseille « l’amour sous algorithme » de Judith Duportail,
Sources :
www.Madmoizelle.com
http://www.madmoizelle.com/algorithme-tinder-livre-992489
podcast « L’instant M » du 25 mars sur france inter
https://www.franceinter.fr/emissions/l-instant-m/l-instant-m-25-mars-2019